Entre hier soir avec Les Trois Soeurs, pièce de Tchekhov à fond sérieux
quelque peu égayée par des interventions comiques et aujourd'hui, Ariadne
auf Naxos, opera de Strauss à fond amusant avec quelques intermèdes
tragiques, le changement de genre au cours d'une même oeuvre ne me
semble plus si rare que ça... Je ne sais pourquoi j'avais l'impression
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